LA SECONDE GUERRE MONDIALE

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UN débarquement
Une opération militaire

Pendant la Seconde Guerre mondiale, un débarquement est une opération militaire orchestrée par les Alliées visant à libérer les pays occupés par les nazis.

Les débarquements en France : le 6 juin 1944, en Normandie, et le 15 août 1944, en Provence

En 1944, alors que la France est entièrement occupée par les Allemands, un premier débarquement a lieu en Normandie le 6 juin 1944.

Puis c'est le débarquement de Provence, le 15 août suivant. Appelé mission « Anvil-Dragoon », ce débarquement a pour but de compléter le débarquement de Normandie : il faut prendre en tenaille les troupes allemandes stationnées en France et libérer le pays par l'ouest et par le sud.

La débâcle

La débâcle est le terme utilisé pour nommer la défaite de l'armée française face à l'armée allemande lors de la bataille de France en mai et juin 1940.

À partir du 10 mai 1940, la Wehrmacht passe à l'attaque et pratique une guerre-éclair qui fait plus de 100 000 morts parmi les soldats français et permet aux Allemands d'atteindre Paris le 14 juin 1940.

Une dictature
Un régime politique autoritaire

Une dictature est un régime politique autoritaire qui n'accepte pas l'opposition.

Stalinisme, fascisme et nazisme

Dans l'entre-deux-guerres, trois régimes totalitaires se mettent en place en Europe : le stalinisme en URSS, le fascisme en Italie et le nazisme en Allemagne. Ces régimes sont marqués par un contrôle permanent des sociétés, une forte répression des opposants, une volonté de créer un homme nouveau et le culte de la personnalité du chef.

La déportation
Une peine politique

La déportation est une peine politique qui permet d'éloigner d'un pays les opposants et les rebelles au gouvernement.

La déportation des résistants en camp de concentration

Pendant la Seconde Guerre mondiale, le gouvernement officiel de la France, appelé gouvernement de Vichy et dirigé par Pétain, collabore avec l'Allemagne nazie.

Les Résistants, qui refusent l'occupation allemande et le nazisme, sont alors considérés comme des opposants au gouvernement de Pétain. Ceux qui sont arrêtés par la Gestapo, ou la Milice française aux ordres de Vichy, risquent la  déportation dans les camps de concentration nazis.